http://www.amazon.fr/Journal-diary-voyage-Beagle-1831-1836/dp/2745324497
Présentation de l'éditeur
Traduit ici en français pour la première fois, le Journal de bord (Diary) de Charles Darwin est le
premier document, demeuré longtemps inédit, qui relate, jour après jour, le voyage du jeune
naturaliste autour du monde à bord du trois-mâts barque d’exploration le Beagle. Commencé le lundi
24 octobre 1831 à Plymouth, ce récit s’achèvera, presque cinq ans plus tard, le dimanche 2 octobre
1836 à Falmouth, après un périple au cours duquel le futur réformateur de l’histoire naturelle et auteur
de la théorie de la filiation des espèces expliquée par la sélection naturelle aura acquis une provision
de spécimens, d’observations, de connaissances positives et de doutes qui constituera le socle et le
ferment de sa grande théorie phylogénétique.
Matrice du futur Journal de recherches (le fameux Voyage d’un naturaliste autour du monde) qui
paraîtra en 1839, le Journal de bord est en premier lieu le récit de cette navigation, tour à tour
éprouvante et émerveillée, et de son alternance avec les longues expéditions terrestres (Cap-Vert,
Brésil, Uruguay, Argentine, Chili continental et Terre de Feu, Falkland,
Chiloé, Galápagos, Tahiti, Nouvelle-Zélande, Australie, Tasmanie, îles Keeling, île Maurice, Cap de
Bonne-Espérance, Sainte-Hélène, Ascension, Açores) qui furent pour Darwin l’occasion d’étudier tout
ce qui, depuis la géologie, essentielle à ses yeux, jusqu’aux hommes, le conduira à douter de la
véridicité de la Bible et du bien-fondé de son autorité sur l’enseignement des sciences de la terre et de
la vie. La vibrante condamnation de l’impardonnable barbarie de l’esclavage et du progressif
anéantissement des peuples autochtones est l’une des grandes leçons morales du Journal de bord.
Dans une longue préface et des annexes soucieuses de compléter et de rectifier parfois les données
avancées par les sources anglo-saxonnes.
premier document, demeuré longtemps inédit, qui relate, jour après jour, le voyage du jeune
naturaliste autour du monde à bord du trois-mâts barque d’exploration le Beagle. Commencé le lundi
24 octobre 1831 à Plymouth, ce récit s’achèvera, presque cinq ans plus tard, le dimanche 2 octobre
1836 à Falmouth, après un périple au cours duquel le futur réformateur de l’histoire naturelle et auteur
de la théorie de la filiation des espèces expliquée par la sélection naturelle aura acquis une provision
de spécimens, d’observations, de connaissances positives et de doutes qui constituera le socle et le
ferment de sa grande théorie phylogénétique.
Matrice du futur Journal de recherches (le fameux Voyage d’un naturaliste autour du monde) qui
paraîtra en 1839, le Journal de bord est en premier lieu le récit de cette navigation, tour à tour
éprouvante et émerveillée, et de son alternance avec les longues expéditions terrestres (Cap-Vert,
Brésil, Uruguay, Argentine, Chili continental et Terre de Feu, Falkland,
Chiloé, Galápagos, Tahiti, Nouvelle-Zélande, Australie, Tasmanie, îles Keeling, île Maurice, Cap de
Bonne-Espérance, Sainte-Hélène, Ascension, Açores) qui furent pour Darwin l’occasion d’étudier tout
ce qui, depuis la géologie, essentielle à ses yeux, jusqu’aux hommes, le conduira à douter de la
véridicité de la Bible et du bien-fondé de son autorité sur l’enseignement des sciences de la terre et de
la vie. La vibrante condamnation de l’impardonnable barbarie de l’esclavage et du progressif
anéantissement des peuples autochtones est l’une des grandes leçons morales du Journal de bord.
Dans une longue préface et des annexes soucieuses de compléter et de rectifier parfois les données
avancées par les sources anglo-saxonnes.
sur Libé 16 11 2012 :
"....introduit avec talent par le spécialiste du Darwinisme Patrick Tort dans un txte joliment baptisé un voilier nommé désir
Matrice du voyage d'un naturaliste autour du monde , publié par Darwin en 1839 , ce document historique brut donne un accès direct à ce voyage, aux pérégrinations maritimes et terrestres de l'apprenti savant. Il permet de saisir sur le vif l'horreur qui envahit Darwin devant l'esclavage, et ses démêles sur le terrain avec le capitaine...."
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